Gods Love Dinosaurs : à table, mon saurien !

Que feriez-vous avec des pouvoirs cosmiques phénoménaux ? Il est temps de vous poser sérieusement la question puisque vous venez d’être propulsés à la tête d’une planète flambant neuve. Déité omnipotente, vous avez tout à faire et tout est possible ! Vous vous mettez au travail, façonnant des environnements et y installant de charmants animaux qui gambadent joyeusement dans les forêts luxuriantes que vous avez aménagées pour eux. Mais voici que s’avance la plus belle de toutes vos créations, celle pour qui tout a été pensé et qui va tout dévorer : le dinosaure. Découvrez la critique ludique de Gods Love Dinosaurs, un jeu de Kasper Lapp illustré par Gica Tam et localisé par Catch Up Games.

Iki : une année de bonheur à Edo

Vous arpentez Nihonbashi, le quartier commerçant d’Edo. L’odeur des raviolis, des tempuras et de la blanchaille vous chatouille les narines alors qu’un acteur kabuki vous interpelle pour vous inviter à vous rendre au théâtre. Une autre fois peut-être ! Vous continuez votre chemin, admirant la minutie des réalisations d’un souffleur de verre avant de vous arrêter car vous avez atteint votre destination : l’échoppe de la fabricante de dés. Il est temps de jouer pour vivre pleinement l’expérience de la vie à Edo ! Découvrez la critique d’Iki, créé par Koota Yamada, illustré par David Sitbon et édité par Sorry We Are French.

Welcome to the moon : plus près des étoiles

La fin du monde est proche. Nous en sommes maintenant certains : des astéroïdes s’apprêtent à percuter la Terre et à anéantir la vie. Mais cette catastrophe ne doit pas sonner le glas de l’humanité – elle ne le sonnera pas ! Grâce à l’Alliance Humaine, des hommes et des femmes coloniseront la Lune qui deviendra ainsi le refuge des humas. Ensemble, nous pouvons accomplir de grandes choses. Ensemble, nous pouvons sauvegarder notre espèce et préparer un avenir meilleur. Êtes-vous prêt à embarquer à bord de la capsule Blue Cocker ? C’est parti pour l’analyse de Welcome to the moon, un jeu de Benoît Turpin et Alexis Allard, illustré par Anne Heidsieck.