It’s a Wonderful World : un univers ludique merveilleux ?

Avec la fin des Grandes Guerres, le monde a pu prospérer, sous la houlette de Leaders éclairés et soucieux du bonheur de leurs peuples. En tout cas, tel est le discours « bonpensé », propagé dans chacun des cinq Empires de la planète. Pourtant, derrière cette harmonie apparente, les Empires se livrent à une concurrence féroce pour affirmer leur hégémonie scientifique, culturelle ou économique. Prenez la tête de l’un d’entre eux et œuvrez pour que le « meilleur des mondes » soit uniquement le vôtre… Critique ludique de la gamme It’s a Wonderful World, créée par Frédéric Guérard, illustré par Anthony Wolff et édité par la Boîte de Jeu et Origames.

Sur les bords de la Tamise, aidez Londres à renaître de ses cendres

Londres, le dimanche 2 septembre 1666. Un départ de feu dans une boulangerie déclenche ce que l’on appellera le Grand Incendie de Londres : pendant quatre jours, la Cité est ravagée par les flammes et 80% des bâtiments sont détruits. Il va vous falloir reconstruire la ville, la magnifier, pour en faire la capitale anglaise prestigieuse que nous connaissons aujourd’hui. A travers trois siècles, vous rivaliserez d’ingéniosité pour ériger les plus beaux monuments et marquer l’Histoire. Analyse critique de la réédition du jeu Londres de Martin Wallace.